Shamal : Fictions en tous genres !

Suivre

709 commentaires
866 visites

Création : 22/03/2015 à 06:45 Mise à jour : 11/01/2017 à 07:09

Bonjour tout le monde, je m'appelle Shamal:).

Je suis sur skyrock pour partager une de mes passions, l'écriture. J'adore écrire sur presque tout et n'importe quoi, des poèmes, des fictions et aussi des OS.

Sur ce blog je posterai des fanfictions sur mes univers préférés (Star Wars, Dragons, Harry Potter etc).

Ah et aussi, vu que je suis très fan de Yaoi (relations entre hommes), donc c'est possible d'en trouver ici !!!

Toutes les images que vous verrez ici sont de moi, alors pas touche !

Voici donc les règles, elles doivent être présentes sur beaucoup de blogs, mais bon..

Ce que j'accepte :

Les demandes d'amis (aimez-moi bordel !)

Les tags

Les pubs, mais seulement sous cet article

Les commentaires positifs et négatifs (constructifs, si possible)

Les kiffs

Ce que je n'accepte pas :

Le plagiat (si vous voulez copier un personnage ou quelque chose d'autre, demandez-le moi, je ne mange pas !)

Les mots vulgaires

Les racistes, homophobes et autres du même genre, au revoir !

Les dragueurs

Les rageurs

Le langage SMS

Les remix sans mon autorisation

Voilà, je vous souhaite un bon voyage dans mon blog ! Et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !

Le sommaire

Bye-bye les amis !

Shamal

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

-Salut !

Tu parles avant moi, maintenant ?

-Oui.

D'accord. Rappelle-moi pourquoi tu es là, déjà ?

-Pour rajouter de la vie dans tes monologues chiants.

C'est vrai. Bref, salut tout le monde ! On se retrouve pour le chapitre 4, qui est plutôt tranquille.

-Bonne lecture les gens !

Chapitre 4

-C'est bizarre qu'il fasse encore si chaud en début décembre. Se plaignit Jack en balançant ses jambes.

-Oh, arrête de gémir le givré ! Rétorqua Mérida, sur une branche au-dessus.

Harold, à côté de Jack, soupira et reporta son regard sur Raiponce qui brossait ses longs cheveux devant la porte.

-Je ne gémis pas la furie, je fais une remarque !

-C'est ça, en fait tu veux de la neige pour ton anniv'.

-Exactement !

-C'est quand ton anniversaire, Jack ? Les coupa Harold.

-Le 11 janvier, et le tien ?

-Le 17 mars.

-Et vous savez celui de Raiponce ? Demanda Mérida.

-C'est le 1er mai. Répondit Jack. Et toi la furie, tu es née quand ?

-Le 31 Juillet.

S'ensuivit un silence perturbé seulement par le chant des oiseaux et la voix de Raiponce, qui chantait en contre-bas.

-Dis Harold, tu as déjà embrassé une fille ? S'enquit le Gardenien.

-Non. Répondit l'intéressé en rougissant légèrement.

-Non ?! Il faut remédier à ça ! S'exclama le jeune garçon, songeur.

Harold garda fixement le regard sur ses genoux.

-Peut-être Mérida ? Commença Jack.

Mais la rousse lui jeta un regard sauvage et il abandonna.

-Alors Raiponce ? Continua-t-il.

Harold était à présent franchement rouge.

-Alors ? Le pressa Jack.

-C'est... C'est vrai qu'elle est jolie, mais... Bafouilla le Valkien.

-À, parce que moi je ne suis pas jolie ? S'indigna la Sissienne.

-Non ! Ce n'est pas ce que je voulais dire, je... S'emmêla le pauvre Harold.

-Oh, Hiccup, on te taquine ! Rit Jack devant sa tête désolée.

Harold se tendit à l'entente du surnom et fut déséquilibré quand Jack lui asséna une tape amicale dans le dos. Il tendit la main et se rattrapa à une petite branche. Malheureusement, elle céda dans sous son poids et il bascula dans un cri.

-Putain Frost, t'es con ou t'es con ? Cria Mérida.

Ils descendirent souplement de l'arbre et se précipitèrent vers Harold, vite rejoints par Raiponce. Mais, alors qu'ils allaient rejoindre l'auburn, un énorme animal noir se jeta devant eut et... feula ? En tout cas, il se calma ensuite et regarda Harold, sans pour autant bouger. Le garçon semblait légèrement sonné, mais il se redressa à moitié, une main sur son front.

Il parla doucement à l'animal et celui-ci s'écarta. Jack le rejoignit er l'aida à se lever, avant de le soutenir jusqu'à la maison de Joséphine.

* * *

Harold cligna des yeux et sa vision trouble s'éclaircit. Joséphine le regardait avec affection et il se souvint de tout. Les taquineries de Jack et Mérida, puis la chute. A partir de là, tout était flou. Il lui semblait vaguement avoir vu Krokmou, mais n'arrivait pas à définir si il avait rêvé ou non.

-Tes amis ont vu Krokmou hier. Dit-elle après l'avoir aidé à boire.

-Je devrais leur expliquer alors. Répondit-il avec difficulté.

-Oui, mais renseigne-toi d'abord. Lui conseilla-t-elle en lui tendant un livre.

Harold le regarda, intrigué. Dragons en était le titre.

Il adressa un sourire à Joséphine avant de se plonger dans sa lecture. L'histoire racontait celle d'un viking nommé Hiccup qui arrivait à dompter un Fury Nocturne qu'il appelait Krokmou. A la fin, les vikings et les dragons arrivaient à vivre en paix.
A la fin du livre, il y avait une petite note :

Hiccup finit par mourir, et les dragons disparurent. Krokmou était le dernier Fury Nocturne de la planète et était immortel. Il se cacha donc dans la forêt de l'île de Beurk. L'océan baissa et créa un passage entre le continent et l'île. Voilà comment est née la légende du dragon. Il attendrait son maître, qu'il reconnaîtrait aussitôt. Je pense que tu as compris, Harold.

Le garçon laissa tomber le livre sur son ventre et croisa les bras derrière sa tête.

Alors comme ça, il était le maître que Krokmou attendait. C'était dur à croire, mais il avait remarqué plusieurs ressemblances entre Hiccup et lui. Déjà, Hiccup était le surnom que lui donnait ses amis, ils avaient tout deux rencontrés Krokmou et l'avaient dressés –bien que dans le cas d'Harold, ça avait été facile. Ils avaient les cheveux bruns-roux, les yeux verts, pas d'amis –en tout cas au début- et étaient petits. Ensuite, leurs pères s'appelaient tous deux Stoïk, étaient chefs de villages et les avaient rejetés, et plusieurs personnes de leur entourage portaient le même nom et avaient plus ou moins le même caractère. Harold espérait par contre ne pas perdre sa jambe comme Hiccup. Malgré ce détail, c'était frappant.

Le Valkien respira profondément, puis se leva. Il dut se raccrocher au lit pour ne pas tomber. Il attendit que les vertiges se dissipent, puis repris son chemin. Les autres étaient assis autour de la table du salon, au sol, entrain de faire un jeu.

-Salut. Fit Harold.

Mérida leva la tête, et lui sauta au cou.

-Tu es réveillé !

-Oui, j'ai dormi longtemps ?

-Non pas trop, juste pendant toute la nuit. Répondit Jack en lui donnant une tape amicale sur l'épaule tandis qu'il s'asseyait à côté de Mérida.

-Tu n'enlèveras pas ton bandage cette fois. Lui ordonna Raiponce avec un air sérieux.

-Ne t'inquiète pas. Sourit son ami. Vous jouez à quoi ?

-A un jeu de stratégie, tu connais ?

-Non, mais continuez de jouer, je vais vous observer.

Au bout d'un moment, Harold se mit à conseiller Mérida, et il se trouvait être un vrai tacticien.

-Regardez ! S'écria Jack au bout de deux parties. Il neige !

Il fit valser les pièces et bondit sur ses pieds pour exécuter une petite danse de la joie.

Joséphine choisit ce moment pour entrer dans la pièce.

-Joséphine, on peut sortir ? Demanda le Gardenien, un air de chiot battu plaqué sur le visage.

-Bien sûr, je vais vous chercher des vêtements chauds.

Avant de se tourner, elle eut un regard pour Harold et ses lèvres formèrent le mot Krokmou.

Harold soupira, puis prit la parole :

-Je suppose que vous vous posez des questions par rapport à Krokmou.

-Krokmou ? Releva Mérida.

-L'animal d'hier. Devina Jack.

Le Valkien hocha la tête et pris une grande inspiration. Puis, il leur raconta l'histoire d'Hiccup le viking, et les circonstances dans lesquelles il avait rencontré Krokmou.

-Wouah... Souffla Raiponce à la fin du récit.

-Tu nous présenteras ? Demanda la rousse.

-C'est dément ! S'exclama Jack. Allons le chercher !

Il bondit sur la pauvre Joséphine qui revenait, s'empara d'une veste bleu clair et sortit dehors.

Les trois autres y allèrent plus doucement. Raiponce choisit un anorak rose et violet et Mérida un bleu foncé. Elles rejoignirent ensuite Jack dehors.

Joséphine aida Harold, handicapé par son épaule, à enfiler une veste verte, puis lui souffla :

-Tu leur as dit, pour Krokmou ?

-Oui. Répondit le garçon en lui offrant un sourire timide.

Elle lui embrassa le dessus de la tête et il partit rejoindre ses amis.

Aussitôt dehors, une masse noire lui sauta dessus et entrepris de le lécher de la tête aux pieds.

-Krokmou, a... arrête ! Se tordit-il de rire.

Quand le dragon le relâcha enfin, il découvrit que les autres s'étaient rassemblés autour d'eux. Krokmou gronda, puis se calma quand Mérida aida son maître à se relever.

-Mérida, Jack, Raiponce, voici Krokmou.

La rousse tendit la main, que Krokmou renifla. Puis, il se laissa caresser et câliner par les adolescents. Jusqu'à ce que Jack se mette en tête de chatouiller Harold et qu'une formidable bataille s'ensuive.

* * *

Décembre passa, et avec lui la neige arriva, transformant la forêt en un gigantesque tapis blanc. Les travaux de la cabane avaient été arrêtés sur ordre de Joséphine, car les branches étaient devenues glissantes. Le 24, tout le monde alla finir les cadeaux des autres.

-On fait quoi ce soir ? Demanda Raiponce après que le repas eut été avalé.

-Vous pourriez jouer à un jeu. Proposa Joséphine.

Aussitôt, Jack bondit à côté du meuble et commença à fouiller dedans. Il brandit soudainement sa trouvaille, un air fier plaqué sur son visage.

Les autres acquiescèrent tandis que Joséphine allait se coucher sous prétexte que « Ce n'était plus de son âge ».

Jack sortit le plateau et ils s'installèrent sur les canapés.

A trois heures du matin, Jack bailla et s'endormi, la tête sur l'accoudoir du canapé. Raiponce avait posé la sienne sur son ventre, Mérida avait juste basculé la tête en arrière et Harold était appuyé contre l'épaule de la rousse.

Ce fut comme ça que Joséphine les découvrit lorsqu'elle se leva quelques heures plus tard. Elle les recouvrit de couvertures en souriant, indulgente. Elle surpris alors Harold qui la fixait, mais il bailla et referma les yeux. Joséphine s'effaça alors pour les laisser finir leur nuit.

Voilà ! J'ai pas trop de questions pour chapitre, à part une :

1. Est-ce que, comme moi, vous l'avez trouvé plus court ?

-Et oui, je lui ai déjà dit qu'il y avait trop de dialogues et pas assez de descriptions, mais elle m'a répondu qu'elle avait la flemme de changer et qu'elle le ferait lors de l'éventuelle réécriture. Elle est conne hein ?!

C'est ça, aller salut !

-Bye !

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

Chapitre 5

Kikoooooooooo les gens !

-Nous revoici pour le chapitre 5 !

Ouiiiiii !

-T'es de bonne humeur aujourd'hui.

Tu trouves ? Nan parce qu'en fait pas du tout.

-Ah.

Chapitre 5

Harold se réveilla, pour de bon cette fois, et se leva sans déranger les autres. Il était moins fatigué, car il s'était endormit au milieu du jeu –auquel il avait déjà joué- et, en outre, il avait l'habitude de se lever aux aurores.

Il se glissa sans bruit dans la cuisine et salua Joséphine, qui buvait un café.

-Ah, Harold. Fit-elle alors qu'il s'asseyait. Je voudrais te donner ton cadeau de Noël avant les autres.

Il l'interrogea du regard, mais ne dit rien.

La vieille femme lui tendit un écrin bleu sombre, qu'il ouvrit doucement. A l'intérieur brillait un pendentif d'émeraude en forme de goutte relié à une petite chaine d'argent.

-Il a appartenait à ta mère. L'informa-t-elle.

-Tu connaissais ma mère ? S'écria Harold en relevant brusquement la tête.

Joséphine ne répondit pas et prit le collier.

-Il te revient, maintenant. Susurra-t-elle en lui passant le bijou autour du cou.

Le garçon lui lança un regard troublé et ouvrit la bouche, mais la referma quand Raiponce fit irruption dans la pièce.

-Joyeux Noël ! Dit-elle en guise de salut en plaquant un baiser sur la joue d'Harold, qui rougit légèrement.

-Salut les amoureux ! S'exclamèrent Mérida et Jack en chœur en entrant à leur tour.

-On est pas amoureux ! Protesta le Valkien en devenant encore plus rouge.

-Ils ont répétés ça avant d'entrer pour être parfaitement synchronisés. Expliqua Raiponce en souriant.

-Bon, on va chercher les cadeaux ? Demanda Jack, excité.

-D'accord ! Répondit Raiponce.

Tous montèrent chercher les paquets et redescendirent chargés.

Raiponce ouvrit ses paquets en premier après un commentaire de Jack et une réponse de Mérida (-Les filles d'abord ! –Bah vas-y toi alors !)

Elle reçut de Joséphine un collier avec un pendentif de fleur dorée entouré d'une frise argentée. Mérida et Jack avaient fouillé ensemble de vieux coffres appartenant à la vieille femme et s'étaient alliés pour lui offrir un vieil herbier. Harold, lui, avait trouvé dans la forêt un caméléon perdu qu'elle décida de nommer Pascal.

Puis, Jack ouvrit les siens. Il reçut de Raiponce une peinture qui le représentait en train de tirer une boule de neige sur Mérida, en arrière plan. Encore derrière, on voyait Harold se faire lécher par Krokmou, Joséphine les regarder, le sourire aux lèvres, et elle-même en train de brosser ses cheveux.

Il reçut d'Harold un flocon de bois taillé dans du bouleau pour lui donner une couleur blanchâtre. Joséphine lui donna un sweet-shirt bleu clair qu'elle avait fait. Et il ne se méfia pas quand Mérida lui tendit un paquet en retenant un rire. Il aurait dû. A peine l'eut-il ouvert qu'une boule de tissu l'agressa en sautant à son visage. Jack fit un bond de trois mètres de haut en hurlant comme une fillette. Une fois que tout le monde eut calmé son rire, la rousse lui tendit son vrai cadeau, une petite figurine le représentant.

La Sissienne, elle, reçut de Jack une boite d'insectes (qui vola par la fenêtre), puis une vieille figurine d'ours repeinte en roux, d'Harold un nouvel arc pour remplacer le sien, usé, de Raiponce la même peinture que Jack, mais avec elle au premier plan et de Joséphine un carquois décoré d'ours pour ses flèches.

Joséphine fut comblée par ses cadeaux, un porte-bougie en forme de bouquet de fleur en bois par Harold, de Raiponce la peinture ''multi-point-de-vue'' –d'après elle-, et de Mérida et Jack, qui s'était encore allié, un tableau ''vert'' constitué de mousse et d'autres végétaux trouvés en forêt.

Ce fut enfin le tour d'Harold. Il reçut de Jack une figurine de Krokmou qu'il avait trouvé dans un coffre et repeinte. Raiponce lui offrit une peinture comme les autres Mérida lui donna un vieux carnet de bricolage rempli de modes d'emploi qu'elle avait elle aussi pris dans un coffre. Alors qu'elle allait demander ce qu'avait donné Joséphine, elle surpris un reflet sur la poitrine de son meilleur ami. Une goutte d'émeraude était pendue sur une petite chaîne argentée. C'était un collier qu'elle n'avait vu qu'une seule fois, au cou de la mère d'Harold. Celle-ci était venue une fois manger chez elle, et elle se rappelait avoir joué avec alors qu'elle n'avait que quatre ans. Elle sourit alors qu'Harold se plongeait déjà dans son cahier de bricolage.

* * *

Le nouvel an arriva bien vite et tous fêtèrent dignement cette nouvelle année qui, espéraient-ils, verrait la fin de la guerre.

Ils étaient tous en train de boire de l'alcool que Joséphine avait ils ne savaient comment trouvé et Mérida faisait avec Jack le concours de celui qui avalerait le plus de verre.

-Si vos parents voyaient ça. Soupira tristement Joséphine en secouant la tête, arrachant un rire à Raiponce qui commençait à devenir un peu rouge. Harold, lui, se rembrunit et n'avala pas une goutte de plus.

Il y eut le compte a rebours dont personne ne se souvint dans tous les détails, sauf le Valkien et Joséphine.

Mérida finit par tomber au sol et tandis Jack criait à tue-tête que « La vache, ce sol de merde bouge beaucoup plus que prévu ! »

Raiponce aida son amie à monter les escaliers pendant que Jack titubait autour du salon pour échapper à Harold qui essayait de l'attraper. Il tomba finalement et l'auburn le tira sans ménagement vers sa chambre en passant un bras autour de ses épaules.

Il finit par pousser la porte et laissa tomber le Gardenien sur son lit. Mis alors qu'il se dégageait, Jack lui attrapa la main.

-Reste. Murmura-t-il d'une voix rauque.

Harold étouffa un petit rire.

-Tu es ivre Jack.

-Mais reste ! Gémit celui-ci.

-D'accord, d'accord. Accepta le garçon.

Il se glissa dans le lit de son ami et s'endormit rapidement, sentant le souffle de Jack dans son cou.

* * *

Le réveil fut dur, et sans pitié. En effet, Harold, vite remis, décida de s'amuser un peu et renversa sur la tête de chacun de ses amis un verre d'eau gelée. Il était sorti en courant des chambres, des coussins volants derrière lui. Ses yeux brillaient encore d'amusement quand il prit son petit déjeuner. Joséphine le regardait, cachant son sourire derrière sa main.

-Tu avais envie de te venger ? Demanda-t-elle.

-Non, juste de les embêter un peu ! Répondit-il avec un grand sourire qui fit fondre son interlocutrice.

-Tiens, tu peux aller chez elle, c'est une amie. Dit la vieille femme en lui tendant une carte où était signalé la présence d'une maison non loin. C'est à une heure de marche, et elle à une forge.

Harold la regarda avant de bondir sur ses pieds, de sauter dans ses bottes de neige, de s'emparer d'une veste, de son carnet de bricolage et de sortir de la maison.

-Reviens avant cinq heures ! Cria-t-elle.

Elle n'attendit pas sa réponse pour savoir qu'il avait entendu. Il agissait exactement comme sa mère à son âge... Elle sortit de ses pensées quand Raiponce et Mérida apparurent, les cheveux mouillés et un air de fureur plaqué sur le visage.

-Où est Harold que je l'étripe ? Gronda Mérida en plissant les yeux.

-Il est parti pour la journée. L'informa Joséphine.

-Grrr ! S'écria la rousse.

-C'est pas grave, la rassura son amie, on l'aura à son retour.

-Bon, moi je vais me doucher. Répliqua Mérida après un sourire entendu et menaçant entre les deux.

On l'entendit monter d'un pas lourd les escaliers et toquer à une porte en hurlant :

-Bouge-toi Frost, tu comptes attendre demain ?!

Raiponce était en train de penser à Harold. Mais, il n'était pas en train de s'amuser avec Krokmou comme elle le croyait. Non, il tentait de marcher tout en lisant dans le carnet ce qu'il pourrait faire à la forge. Jusqu'à ce que Krokmou bondisse devant lui et lui barre le passage.

-Krok', qu'est-ce que tu fais ? Demanda le garçon en levant la tête.

Il vit alors que, sans l'intervention du dragon, il aurait foncé dans un grand chêne.

-Oh, merci.

Il tapota la tête de son ami avant de se remettre en route, en regardant devant lui, cette fois.

Il arriva finalement devant une maison semblable à celle de Joséphine, mais qui était un peu plus petite. A coté, un petit bâtiment ouvert laissait deviner l'existence de la forge.

Harold n'hésita qu'une fraction de secondes avant de toquer à la porte.

-J'arrive ! Fit une voix enjouée.

La porte s'ouvrit et Harold découvrit une femme du même âge que Joséphine, qui portait des habits roses fluo parsemés de fleurs jaunes. Il dut cligner des yeux pour ne pas pleurer devant tant de couleur.

-Bon... Bonjour. Salua-t-il timidement.

-Tu dois être Harold ! Viens entre !

Il se retourna, et vit que Krokmou avait disparu. Haussant les épaules, il suivi la femme.

-Je m'appelle Mathilde ! Se présenta celle-ci en lui servant du thé. D'où viens-tu ?

-De Valka. Murmura l'auburn. J'ai seize ans.

-Tu es bien petit pour ton âge. Remarqua-t-elle. Peu importe. Je suis bien contente que quelqu'un reprenne la forge de mon cher Patrick !

Harold prit une gorgée de thé brulant et faillit s'étouffer. Ça allait être long...

* * *

-Ma tête... Gémit Jack, allongé sur le canapé, une main sur son front.

-T'avais qu'à pas abuser hier. Répliqua Harold en entrant et en tapant ses bottes pour en enlever la neige.

-T'es rentré. Remarqua Joséphine.

-Oui, Mathilde voulait me noyer dans son thé.

-Mmmh... Je lui dirais que tu es venu pour travailler.

Mérida fit alors son apparition, un glaçon plaqué contre son crâne.

-C'est drôle, j'ai l'impression que tu n'avais pas mal le moins du monde quand tu projetais de tuer Harold, ce matin. Grogna le Gardenien.

-Où est-ce qu'il est celui-là ? Gronda la rousse, tout mal envolé.

Elle avisa son ami, bondit sur lui en lâchant son glaçon. Harold recula précipitamment, mais buta contre le deuxième canapé. Elle fut sur lui en un instant. Il retint son souffle, mais elle ne fit que le fixer droit dans les yeux. Jack se fit la réflexion que lui serait déjà parti en courant, mais l'auburn de flancha pas.

Mérida finit par bouger. Elle donna un grand coup dans sa poitrine et il bascula en arrière dans un cri. Elle sauta sur lui, l'immobilisa en mettant ses genoux de part et d'autre de son frêle corps et en attrapant ses poignets dans une de ses mains. De l'autre, elle se mit à chatouiller le Valkien qui se tordit de rire.

Cela dura cinq bonnes minutes, pendant lesquelles Harold eut beau supplier et crier, en vain. Alors qu'il reprenait son souffle, des larmes de rire coulant sur ses joues, Raiponce descendit à son tour.

-Euh... Vous savez que vous êtes dans une position très... euh... Bafouilla-t-elle, rosissante.

Harold et Mérida échangèrent un regard, avant que la Sissienne ne s'éloigne et que le garçon ne se réfugie à l'extrémité du canapé.

Jack se mit à rire devant les têtes on-ne-peut-plus rouge de ses amis. Avant de gémir en disant qu'il préférait mourir, ce à quoi Mérida répondit que ça ferait des vacances à tout le monde.

Soudain, de la neige tomba du toit en causant un grand fracas, faisant sursauter les adolescents.

-La neige commence à fondre. Fit alors Joséphine. Évitez de sortir, je ne veux pas que vous mouriez enterrés.

Elle partit, laissant ses hôtes un peu éberlués.

-Bon... Je vais me doucher. Finit par lâcher Harold en s'esquivant dans les escaliers.

-Tu veux faire quoi pour ton anniv' ? Hurla Mérida.

-Je sais pas ! Fut la réponse, étouffée, de son ami.

-Pourquoi à lui tu lui demandes alors que moi, c'est plus proche et que tu ne me dis rien ? Se plaignit Jack, les yeux mi-clos.

-Parce que toi tu es un crétin ! Répondit la rousse en lui lançant un oreiller sur la tête.

Celui-ci est plus long que celui d'avant.

-C'est parce que t'as mis un passage inutile en parlant des cadeaux.

C'est vrai... Mais il y a quelques uns qui serviront. Un jour.

-Dans le tome 50 !

J'ai prévu 50 tomes ?

-Mais qu'elle est conne, c'est pas vrai, sauvez-moi....

Bref, les questions :

1. Joséphine est très étrange....

-C'est pas une question ça.

C'est pour qu'ils fassent leurs propres hypothèses.

-Ok.

2. Les couples sont-ils bien partis d'après vous ? Qui ira avec qui ?

-Je précise que ce ne sera pas forcément avec une personne du Big Four !

Chuuuuuuuuuut !

-Mais je...

Chuuuuuuuuuuuuuuuut !

-Pfff.

Chuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut !

On se retrouve la semaine prochaine ! Bye tout le monde !

-Salut !

CHUUUUUUUUUUUUUU..... AIE BORDEL !

Se promettre quelque chose à soi-même est le plus dur des défis. Le plus beau est de les relever. Gregory Lemarchal.

Shamal

Big Four, Dragons, ''La forêt''

9 | Partager

Commenter

#Posté le mercredi 12 octobre 2016 07:07

Modifié le vendredi 04 novembre 2016 08:01

Salut salut !

-Bonjour.

Je suis désolée de ne pas vous avoir prévenus, mais j'avais complètement zappé le fait que je parte en vacances.

-Mais on est de retour pour le chapitre 6 !

Bonne lecture !

Chapitre 6

L'anniversaire de Jack finit par arriver, et, heureusement, il neigeait. Ils décidèrent d'aller patiner sur un lac gelé qu'Harold avait découvert avec Krokmou, dans une combe qui s'appelait le Gouffre aux Corbeaux. Joséphine ne possédant pas de patins, ils se résignèrent à utiliser simplement leurs chaussures. Jack se révéla particulièrement doué, au contraire d'Harold qui préférait rester sur la terre ferme.

-Allez, viens ! Lui intima Mérida en glissant gracieusement.

-Non, je... Voulut protester le garçon.

Jack ne lui en laissa pas le temps. Il s'approcha de lui, prit ses mains dans les siennes et l'entraîna sur la glace. Au fur et à mesure des pas hésitants, l'auburn finit par prendre de l'assurance. Enfin, jusqu'à ce que Krokmou le pousse vicieusement et que Jack ne le rattrape in extremis.

Puis, ce fut au tour d'Harold d'avoir un an de plus. Ce jour là, il faisait exceptionnellement chaud, la neige ayant fondu en deux jours, et ils décidèrent d'aller se baigner dans le même lac.

Papotant gaiement, les adolescents traversaient la forêt, le dragon devant. Raiponce portait le panier de pique-nique et cueillait des fleurs qu'elle enfilait au fur et à mesure dans ses cheveux. Pascal, son caméléon, observait le monde depuis son épaule.

Arrivé aux Gouffre, elle posa son chargement et enleva sa robe rose, dévoilant son maillot de bain violet.

Elle tourna la tête quand elle entendit un rire. Krokmou venait de pousser un Harold encore tout habillé dans l'eau et Jack, déjà en maillot, lui frottait énergiquement les cheveux en les mouillant.

Faussement furieux, Harold les poussa à leur tour et sortit. Il enleva son tee-shirt vert émeraude, et Raiponce découvrit avec horreur que son dos comportait deux ou trois cicatrices droites et blanches. Elle laissa échapper un hoquet de surprise et tous se retournèrent vers eux. Elle fit alors un sourire qu'elle espérait convainquant et s'esclaffa :

-Un insecte s'est posé sur mon bras et j'ai eu peur, c'est bête, non ?

Harold se retourna en haussant les épaules et la blonde fit signe aux deux autres de le regarder pendant qu'il accrochait ses vêtements aux branches d'un arbre pour le faire sécher. Ils obéirent et Mérida posa ses mains sur sa bouche, horrifiée, tandis que Jack prenait un air sombre.

-Je sens que vous me regardez, vous savez. Chuchota Harold, néanmoins assez fort pour que tout le monde l'entende.

Aussitôt, ils se retournèrent tous et la rousse lança une gerbe d'eau sur Jack.
L'auburn et Raiponce les rejoignirent et bataillèrent jusqu'à quatre heures, où ils s'installèrent pour manger le gâteau à la crème d'Harold. Celui-ci souffla ses bougies, mais une resta allumée.

-T'as une amoureuse ! Le railla Mérida.

-Ça va, dix-sept bougies, c'est beaucoup ! Se défendit l'intéressé en rougissant.

-Mais oui ! S'écria son amie en lui ébouriffant les cheveux.

-Mais qu'est-ce que vous avez tous contre mes cheveux ? Râla-t-il en se dégageant.

Ils se chamaillèrent encore quelques minutes avant que Raiponce ne fasse remarquer qu'ils feraient mieux de rentrer si ils voulaient être de retour auprès de Joséphine à cinq heures.

Le soir venu, ils allèrent se coucher, et Jack invita Harold dans son lit. Il avait un visage très sérieux et ses yeux étaient sombres.

-Je sais que tu ne nous a pas tout dis sur toi, Harold. Gronda-t-il doucement. Mais si tu veux en parler, je suis là.

Il se retourna pour être dos au Valkien, qu'il entendit prendre une grande inspiration.

-Ja... Jack, tu sais garder un secret ? Finit-il par demander.

-Bien sûr. Répondit le brun sans se retourner.

Mais il avait les yeux parfaitement ouverts, à l'écoute.

-Mes blessures, c'est... C'est des jeunes de mon âge qui me les ont faites. Avoua Harold. Parce que je suis petit, faible et... Je n'ai jamais été ce que mon père aurait voulu que je sois. Lui, si grand, si fort, et moi, timide et maladroit. Je... Je déteste la mort, je ne suis jamais là lors de mises à mort organisées par mon village. Alors une nuit, j'ai... j'ai libéré les condamnés. Mais je me suis fait prendre et...

Sa voix tremblait à présent, et Jack était figé.

-Et mon père ne pouvait pas laisser passer ça...

-Pourquoi ? Demanda son ami, incapable de se retenir.

-C'est le chef du village, et il...

Le Gardenien se retourna brusquement pour découvrir un Harold au bord des larmes.

-Et il m'a rejeté... Finit misérablement l'auburn.

Une larme roula sur sa joue et Jack l'essuya délicatement, avant de l'attirer dans ses bras où il éclata en sanglots silencieux.

-Chut, Hiccup, ça va aller. Murmurait le brun en ébouriffant doucement ses cheveux.

Harold sembla se calmer et finit par s'endormir, toujours entre les bras de son ami.

-Je te protégerai. Promit celui-ci en l'embrassant sur le dessus de la tête. Tant que je serais en vie, il ne t'arrivera rien.

* * *

Le lendemain, Harold ouvrit les yeux, réveillé par la douce lumière qui filtrait à travers les rideaux. Il s'étonna un instant de se trouver dans le lit de Jack, avant de se rappeler des événements du soir d'avant. Il se rembrunit, avant de se lever sur un coude pour regarder la position du soleil. Son mouvement réveilla le Gardenien, qui tendit les bras au dessus de sa tête pour s'étirer.

-Bien dormi ? Bailla-t-il.

-Oui. Répondit Harold sans empêcher une légère rougeur d'apparaître sur ses joues. Et toi ?

Jack sourit, mais ne commenta pas.

-On ne peut mieux ! S'écria-t-il.

Pendant qu'ils s'habillaient, l'auburn ouvrit timidement la bouche.

-Jack ? Demanda-t-il en évitant son regard de glace.

-Oui ?

-Tu ne raconteras pas aux filles ce que je t'ai dis hier, hein ?

-Tu n'as pas à avoir honte de ça ! Protesta son ami.

-Même, promet-moi que tu ne leur diras rien. Supplia Harold.

-D'accord, d'accord. Accepta Jack.

Après les révélations de la veille, il comprenait pourquoi Mérida disait qu'il n'avait peut-être pas envie de continuer sa vie. Être rejeté par son père, le Chef, cela signifiait comme un bannissement. De plus, il savait par la rousse qu'Harold n'avait jamais connu ni sa mère, ni ses grands-parents. Les paternels étaient morts tôt et le père de sa mère aussi. Quand à sa grand-mère maternelle, elle était partie à la mort de sa fille unique. ''Ouais, il n'a pas eut beaucoup de chance'' Pensa le brun.

Ils descendirent et trouvèrent les filles déjà attablées. Ils s'installèrent en silence, Harold faisant semblant de ne pas remarquer les regards des autres.

Une fois qu'ils eurent fini leur petit déjeuner, ils se levèrent et s'apprêtèrent à sortir quand Joséphine entra.

-Harold, j'ai quelque chose pour toi.

Elle lui tendit un petit cylindre métallique, qu'il prit avec fascination. Il l'observa sous toutes ses coutures, osant à peine le toucher. Il découvrit alors une petite inscription gravée sur le manche. HHH

-C'est à lui, n'est-ce pas ? Demanda-t-il en levant les yeux vers la vieille femme.

Elle hocha la tête et lui dit qu'il ferait mieux de découvrir les secrets de l'objet dehors. En effet, dès qu'il fut sorti et qu'il appuya sur un petit bouton, une lame jaillit et s'enflamma brusquement.

-Wouah ! Lâcha Jack en reculant. C'est quoi ça ?!

Harold s'empressa de ranger la lame et appuya sur un autre bouton. Aussitôt, une épaisse fumée verte en sortit. L'auburn se souvint de sa lecture et intima aux autres de reculer hors de portée du gaz. Dès qu'il fit sortir une petite étincelle, la fumée explosa.

-Mais c'est dangereux ce truc ! Pesta Mérida en rejoignant son ami. Tu vas faire cramer la forêt avec ça !

Harold sourit et voulut répondre, mais il fut bousculé par Krokmou qui avait été attiré par ses essais bruyants.

Le dragon s'approcha de l'épée que son maître avait laissé tomber et la renifla. Il la prit brusquement dans sa gueule et la rendit au Valkien, qui lui souffla :

-Tu la reconnais, hein ?

Le Fury Nocturne hocha la tête et tourna autour des adolescents en bondissant, la langue sortie.

-Vous venez ? Appela Harold. On va s'amuser un peu dans la forêt !

Les trois autres le suivirent, le sourire aux lèvres. Ils ne se doutaient pas que leur vie si tranquille allait bientôt basculer du tout au tout.

* * *

-Bientôt... Susurra une voix froide dans l'obscurité. Ils ont réussi à m'échapper, mais bientôt, ils seront rattrapés par leur destin. J'y veillerai...

* * *

Raiponce sortit de la maison, la tête basse. L'été avait fini par arriver, et avec lui la santé de Joséphine s'était dégradée. Ils avaient tous oubliés qu'elle n'était plus toute jeune, et sa soudaine faiblesse les avait désorientés. Elle passait maintenant toute sa journée couchée dans son lit ou assise devant la porte quand le temps le permettait.

De plus, la chaleur était étouffante, et de fréquents incendies se déclaraient dans la forêt, faisant fuir insectes et animaux. Raiponce ne comprenait pas pourquoi leur petite maison avait encore été épargnée par les flammes, mais elle savait que ça ne saurait tarder.

-Comment va-t-elle ? Demanda Mérida quand elle les rejoignit dans l'herbe.

-Pas très bien. Répondit honnêtement la blonde en chassant d'un geste de la main un insecte qui bourdonnait mollement à son oreille. Elle veut nous voir tous ensemble. Rajouta-t-elle en regardant avec inquiétude Harold, qui gardait la tête baissée sur les brins d'herbe qu'il arrachait sans y penser.

-Un incendie s'est déclaré pas loin. Dit-il d'une voix basse. Krokmou est allé voir.

Sa compréhension du dragon étonnait toujours ses amis qui ne comprenaient pas comment ils arrivaient à communiquer de cette façon.

-Il reviendra. Le rassura Jack en se levant et en tendant Pascal à sa propriétaire qui le prit avec un sourire de remerciement.

Ils entrèrent tous dans la maison et pénétrèrent dans la chambre sombre de Joséphine. Harold s'assis par terre devant le visage de la vieille femme, qui le regarda avec affection.

-Mes enfants. Commença-t-elle, la voix enrouée. Je dois vous révéler vos origines.

-Nos origines ? Demanda Mérida.

-Votre première vie. Précisa-t-elle.

-Tu veux dire qu'on a eu une autre vie ? S'écria Jack en s'asseyant à côté d'Harold.

-Oui. Toi Harold, tu était Hiccup le viking.

Le garçon se figea.

-Tu connais déjà son histoire, enfin, ton histoire, je vais donc passer aux autres si ça ne te dérange pas.

Il hocha difficilement la tête, et Joséphine reprit :

-Toi, Jack, tu étais un esprit de l'hiver. Tu devras prendre le bâton recourbé pour retrouver tes pouvoirs.

-Cool... Souffla le brun en triturant une manche du pull bleu que Joséphine lui avait offert, tout en pensant à toutes les choses qu'il pourrait accomplir avec ce pouvoir.

-Mérida, reprit Joséphine, tu étais la princesse rebelle d'un royaume dirigé par ton père. Tu tirais admirablement à l'arc, comme maintenant. Et Raiponce, tu avait été enfermée toute ta vie dans une tour par celle qui se prétendait ta mère, mais qui te gardait en réalité pour le pouvoir rajeunissant de tes cheveux, qui était longs de vingt mètres.

La blonde jeta un regard à ceux-ci, qui lui arrivaient aux genoux.

-Il te suffira de chanter la bonne chanson pour retrouver ce pouvoir de guérison. Comme vous l'avez sans doute remarqué, le présent n'est pas si différent. La plupart de vos réponses se trouvent dans une boite sous un des canapés du salon.
Ils se levèrent, décidés à obtenir leurs pouvoirs.

-Ah oui, et vous en avez reçus des nouveaux, de pouvoirs. Raiponce, tu peux lire les intentions des gens en croisant leur regard. Jack, tu peux voler, Mérida courir plus vite que le vent, et Harold, tu peux devenir si discret que tu es invisible pour une personne qui ne saurait pas où tu es.

Sa voix faiblit, et les ados reprirent leur chemin vers le salon, désireux de la laisser se reposer et d'apprivoiser leurs pouvoirs.

-Ha... Harold. Murmura-t-elle.

Il revint vers elle tandis que les autres se figeaient sur le seuil, hésitants entre les laisser ou rester.

Le Valkien s'agenouilla à côté du lit et elle caressa sa joue d'une main tremblante.

-Tu ressembles tant à ta mère. Chuchota Joséphine. Les mêmes traits que... Ma chère fille...

Bouleversé, Harold cligna des yeux pour refouler ses larmes. Il venait de retrouver sa grand-mère maternelle, partie à la mort de sa fille. Sa grand-mère...

Le souffle de Joséphine ralentit, et elle finit par fermer les yeux.

-Met fin à cette guerre inutile... furent ses dernières paroles.

Harold resta sans bouger, en état de choc, jusqu'à ce que les bras de Mérida se referment sur lui. Il se laissa aller à son étreinte et se mit à sangloter. Raiponce pleurait aussi tandis que Jack restait sur le pas de la porte.

Après quelques minutes de tristesse, Raiponce dit courageusement, la voix entrecoupée de sanglots.

-Le... le moment était venu.

Ils acquiescèrent tous, en larmes, et elle poursuivit :

-Elle n'aurait pas voulu qu'on s'apitoie sur son sort. Elle veut qu'on mette fin à cette guerre, elle l'a dit. Nos pouvoirs nous aideront.

Ils se dirigèrent alors dans le salon, prêts à affronter leur destin.

Fin !!!! Qu'en pensez-vous ? Vous ne trouvez pas que ça a été amené un peu vite ? Non ?

-Je sais pas si vous avez vu, mais elle est hyper stressée, là.

Oui, bah je... je passe aux questions :

1. Que pensez-vous de leurs nouveaux pouvoirs ?

2. Que vont-ils faire maintenant que Joséphine est morte ?

3. Vous attendiez-vous à ce qu'elle soit la grand-mère d'Harold ?

Voilà, alors à la semaine prochaine !

-Bye les gens !

T'es drôlement calme aujourd'hui...

-Un vrai démon cache toujours ses plans...

Se promettre des choses à soi-même est le plus dur des défis. Le plus beau est de les relever. Gregory Lemarchal

Shamal

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

Bonjour tout le monde !

J'ai été de nouveau taguée, par HermionePotter cette fois ! Je réponds donc à ses questions :

1.Qui est ton personnage préféré d'Harry Potter ?
Bah Harry.

2. Quel est ton couple préféré ?
Couple réel ou couple sorti de mon imagination bizarre ?

3.Tu joue à Zelda ?
J'ai commencé Majora's Mask, mais là je rage doooooonc......

4. Quel personnage de série ou de film tu voudrais bien rencontrer ?
Je sais pas moi.... On peut en dire plusieurs ? Non ? Bon bah.... Barry Allen, de The Flash.

5. Tu as déjà vu Retour vers le futur ?
Non, mais vu l'insistance de mon frère, ça ne va pas tarder.

6. Tu vas bien ?
Oui, pour l'instant.

7. Ça te fais plaisir que je te tague ?
Oui, parce que ça faisait longtemps que pesonne ne m'avais taguée !

8. Tu pense aller dans quelle maison si tu vas à Poudlard ?
Et bien, vu les tests que j'ai effectué, je vais à Gryffondor. Mais j'ai vraiment l'impression d'être très sadique parfois, donc peut-être Serpentard ?

9.Tu voudrais avoir quelques personnes de livre, de série ou de manga, à tes ordres ?
Oui j'aimerai bien mais je peut toujours rêver avant de voir Batman passer le balai chez moi...

10. Fini, tu es contente ?
Moui... Non en fait.

Je tague personne parce que j'ai la flemme en fait.

-Admirez Shamal dans toute sa grandeur.

Oh, la ferme !

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

Chapitre 7

Salut les gens !! Je suis de retour pour le chapitre 7 !

-Déjà ?

Et oui, le temps passe vite ! On est à plus de la moitié de la fiction !

-Allez, on se retrouve en bas.

Bonne lecture !

Chapitre 7

Jack tira une grosse boite de sous le canapé et l'ouvrit. Dedans, il s'empara d'un bâton recourbé au bout. Aussitôt, ses cheveux s'éclaircirent pour devenir blancs et de la glace se forma sous ses pieds.

-Okééé. Réussit-il à dire.

Il s'écarta et les autres s'avancèrent. Il y avait juste une feuille de papier que Raiponce s'empressa de prendre. Elle la déplia et les paroles d'une chanson s'étalèrent sous ses yeux. Le reste de la boite était vide, à part deux épées et deux poignards.

-La plupart de nos réponses, mouais. Commenta Mérida en soupesant une épée. Jack, prends l'autre, Harold et Raiponce, prenez les poignards.

Un cri les fit sursauter et ils se précipitèrent à l'extérieur. Krokmou était là, couché sur le flanc.

-Krokmou ! S'écria Harold en se précipitant vers lui. Tu es blessé !

En effet, sa patte portait des traces de brulures.

Raiponce s'assit à côté de son ami et monta sa feuille à la hauteur de ses yeux. Elle entoura la patte du dragon de ses cheveux et se mit à chanter, trouvant la bonne mélodie d'instinct.

Fleur aux pétales d'or
Répands ta magie
Inverse le temps
Rends-moi ce qu'il m'a prit

Guéris les blessures
Éloigne la pluie
Ce destin impur
Rends-moi ce qu'il m'a pris

Ce qu'il m'a pris

Pendant que sa douce voix s'élevait, ses cheveux se mirent à briller d'une lueur dorée. Quand elle eut fini, elle retira ses cheveux redevenus normaux et ils découvrirent avec étonnement que la patte de Krokmou ne comportait plus aucune blessure.

-Ça marche ! S'exclama Raiponce, soulagée.

Elle et ses amis n'avaient plus rien à craindre des blessures, maintenant !

Jack se mit en tête d'essayer lui aussi son pouvoir. Il s'éleva jusqu'à leur cabane jamais achevée et posa son bâton dessus. Aussitôt, du givre se répandit sur le bois.

-Trop cool ! Cria-t-il.

Mérida courut, et manqua de se prendre un arbre, surprise par sa soudaine vitesse. Elle se retourna pendant que Jack se posait à côté d'elle.

-Où est Harold ? Demanda soudain le blanc, son regard parcourant la clairière.

-Ici ! Répondit l'intéressé en surgissant devant eux, les faisant sursauter.

-Ça aussi, c'est cool. Admis le Gardenien.

Krokmou se leva soudain, les oreilles pointées dans la direction de l'arrière de la maison. Ils regardèrent tous, et ce qu'ils virent leur glaça le sang. Des flammes s'élevaient, hautes et détruisant tous sur leur passage. Ils étaient tellement pris dans leurs nouveaux pouvoirs qu'ils ne les avaient ni vues, ni entendues.

-On part ! Hurla Jack en prenant Pascal, qui dormait sur une branche, d'une main et celle de Raiponce de l'autre. Mérida les suivit, tandis qu'Harold restait sans bouger.

-Harold ! Le pressa la rousse en le voyant planté là. Viens !

-Mais Joséphine est encore à l'intérieur ! Protesta le garçon en s'avançant, une main sur les yeux pour les protéger des braises incandescentes.

-Harold, ne fais pas l'idiot ! L'appela à son tour Jack en lâchant Raiponce. Elle est morte !

Mais Harold restait sourd à leurs supplications. Krokmou, voyant que son ami se mettait en danger, bondit et lui barra la route.

-Krokmou, pousse-toi ! Lui intima l'auburn, des larmes dévalant ses joues. Il faut que j'aille la chercher !

Jack courut vers lui et le prit par les épaules.

-Lâche-moi ! Se débattit Harold.

-Harold, écoute-moi !

Le blanc haussait la voix pour couvrir le rugissement des flammes.

-Elle est morte ! Tu ne peux rien faire, sauf arrêter la guerre ! Si tu meurs, qu'est-ce qu'on va faire ?

Il glissa doucement sa main dans celle de son ami et le tira en arrière. Harold ne résista pas et regarda sans réagir la maison s'embraser d'un coup.

Les deux garçons rejoignirent les filles. Mérida prit l'autre main du Valkien et ils coururent loin, loin de la forêt en flammes.

* * *

-Tu es sûre que tu veux retourner là-bas, Raiponce ? S'enquit Mérida en enfilant un lourd manteau bleu foncé qu'elle avait trouvé dans la forêt.

-Oui. Je veux mes réponses.

Ils avaient marché pendant plusieurs jours car la blonde souhaitait retourner dans sa tour interroger sa mère. Là, ils se trouvaient face à la tour en question. Haute de plusieurs mètres, elle se dressait dans le soleil levant, posant son ombre sur les adolescents. Les grands murs gris étaient recouverts de lierre et on distinguait au sommet, sous le toit de bois, une minuscule fenêtre.

Jack la prit dans ses bras et vola jusqu'au sommet. Raiponce enjamba la fenêtre et entra dans la pièce qui l'avait retenue prisonnière depuis dix-huit ans. Sa mère était assise sur une chaise et se retourna à son arrivée.

-Ma chérie ! S'écria-t-elle.

Elle sauta sur ses pieds et la prit dans ses bras. Sa ''fille'' se dégagea.

-Est-tu ma vraie mère ? Demanda-t-elle sans détour.

Elle vit par une fenêtre Jack étouffer un rire.

-Je... non. Avoua Gothel. Je suis ta marraine, en fait. Tes parents sont les souverains de Corona.

Raiponce passa une main dans ses cheveux. Elle avait raison.

-Mais... Pourquoi ? Demanda-t-elle.

-En fait, tes parents t'on confiée à moi car tu fais partie d'une prophétie, qui raconte que soit tu battras l'ombre, soit tu te feras battre, et...

-Je peux connaître la prophétie ? La coupa la blonde.

-Je ne m'en rappelle pas. Mais je me souviens qu'elle parlait d'un flocon blanc, d'une chevelure dorée, c'est toi, d'une flèche rousse et d'ailes noires.

La nouvelle princesse se figea. Cela décrivait ses compagnons, si on considérait Harold comme étant Krokmou.

-Et l'ombre, je sais qui c'est. Repris Gothel. Il s'appelle Pitch, c'est le maître des illusions et de la corruption. Il a manipulé tous les villages, sauf toi et les trois autres de la prophétie.

-D'a... D'accord. Acquiesça Raiponce en regardant le bas de sa robe violet pâle. Je dois... Je dois y aller.

Avant qu'elle ait pu s'échapper, sa mère la prit dans ses bras.

-Fais attention à toi. Mets fin à cette guerre.

La blonde hocha la tête et courut à la fenêtre. Là, elle se jeta dans le vide et Jack la rattrapa. Alors qu'ils se posaient en douceur sur le sol, la jeune fille vit par la fenêtre Gothel qui les regardait en souriant, ébahie.

-Alors ? S'enquit Mérida, curieuse.

-Je vous raconterai en chemin. Promit Raiponce. Prochaine destination ?

-Gardena ! Répondit Jack en souriant.

* * *

Ils étaient arrivés ! Jack contempla son village depuis la colline sur laquelle ils étaient juchés. Les grandes maisons claires et les chemins de graviers lui rappelaient pleins de souvenirs. Sur le chemin, Raiponce leur avait raconté l'histoire de la prophétie, et Mérida avait déclaré qu'ils la trouveraient dans la bibliothèque de son village. Après avoir marché toute la journée, ils arrivaient épuisés à Gardena.

-Avant que vous vous élanciez comme des naufragés vers un bateau, j'ai un truc à vous dire.

Le blanc vit du coin de l'œil Harold sourire et cela lui réchauffa le cœur. Depuis qu'ils avaient laissés Joséphine brûler, le garçon s'était renfermé sur lui même et riait rarement.

Jack prit une grande inspiration et se lança d'une traite.

-Je... Voilà, en fait mes parents et ma sœur sont morts, et j'habite chez une amie. Ne vous inquiétez pas, elle vous accueillera ! Se reprit-il en voyant les têtes des autres.

Enfin, si elle a réussi à s'échapper. Pensa-t-il.

-Tu ne nous l'avais pas dit ! S'écria Raiponce, attristée.

-Oui, bah...

-Je suis désolée pour toi ! Ajouta-t-elle, les larmes aux yeux.

-Ça va, merci. C'était juste pour vous dire.

Il fit un geste de la main vers Gardena, invitant les autres à passer.
Mérida posa une main sur son épaule et se lança à l'attaque de la descente, suivie par Raiponce. Harold, lui siffla en passant.

-Je vois que je ne suis pas le seul à cacher des choses.

Jack voulut le retenir, mais il était déjà parti. Il marcha alors à sa suite en soupirant.
En arrivant au village, le blanc prit les devants. Les rues étaient désertes, car le soir venait de tomber.

Jack repassa avec émotion dans les rues où il avait grandi, pour se retrouver enfin devant la maison de Tooth. Il toqua avec appréhension, et sourit quand son amie lui ouvrit. Elle lui sauta dans les bras avec un cri de joie et il la fit tourner dans les airs en riant.

-Jack ! Je savais que tu t'en étais sorti !

-Moi aussi ! Les autres sont rentrés ?

-Oui, on a réussi à sortir, ils n'étaient plus aussi vigilants. La fille du roi s'était barrée, d'après ce que j'ai compris.

-Tu as bien compris. Intervint Mérida depuis la porte. On passe la nuit dehors ou quoi ? Comment ça se passe ?

-Tu as ramené des amis ? S'écria Tooth.

-Euh... Oui, on va dire ça comme ça.

-Entrez, entrez, vous devez être épuisés !

En deux temps, trois mouvements, ils étaient attablés devant un bol de soupe fumant. Autour d'eux, des dizaines d'oiseaux multicolores chantaient dans leurs cages, tandis que leur propriétaire jugeait d'un œil critique la nouvelle coiffure et le bâton de son ami. Krokmou s'était caché non loin du village, prêt à bondir au moindre cri.

-Sympa ta nouvelle couleur de cheveux, Jack. Finit-elle par lâcher. Bref, d'où venez-vous ?

-De pas très loin. Répondit Raiponce.

Elle adressa un petit signe de tête aux autres, leur indiquant qu'ils pouvaient faire confiance à la jeune femme. Elle avait en effet apprivoisé son don et avait lu la sincérité dans le regard pétillant de Tooth.

-Et bien moi, je suis la fille fugueuse du roi de Sissia.

-C'est vrai ? S'écria Tooth. Tu en as du cran de venir ici malgré la guerre.

-Justement, on est là pour la stopper, la guerre. Expliqua Harold d'un air sombre.

-Tu n'aurais pas entendu parler d'une prophétie concernant un flocon blanc, une chevelure dorée, une flèche rousse et des ailes noires ? Demanda Jack.

-Et bah... non. Avoua-t-elle.

-C'est pas grave, on trouvera à Sissia. Commenta Mérida. On peut dormir ici ?

-Bien sur ! Les filles, vous dormirez dans ma chambre et Harold avec Jack, ça vous va ?

-Parfait ! Tu viens Harold ?

Les deux garçons montèrent, non sans un regard furieux de l'auburn à l'adresse du blanc.

Dans la chambre de Jack, il posa un petit matelas au sol et ils se glissèrent dans leurs lits.

-Harold, je... Je suis désolé...

-Pas la peine de t'excuser. Grogna son ami.

-Écoute, je...

-Ça va, je t'ai dis ! S'emporta Harold. Je t'ai fait confiance, plus qu'à Mérida, je t'ai dit ce que j'ai subi pendant quinze ans et toi tu ne t'es pas confié à moi, je ne sais pas comment le prendre, fin de l'histoire !

-Excuse-moi...

-Laisse moi dormir, maintenant. On a encore du chemin à faire jusqu'à Sissia, puisque c'est notre prochaine destination.

Il se tourna violemment dans son lit et ferma les yeux, tandis que Jack se mordait la lèvre. Aucun des deux ne sut que les filles, dans le couloir, avaient entendus leurs éclats de voix. Et qu'elles se regardaient maintenant, se promettant de savoir le fin mot de cette histoire.

Que pensez-vous de ce chapitre ?

Je passe direct aux questions :

1. Est-ce que l'histoire de la prophétie n'a pas été amenée un peu vite par Gothel ?

2. Est-ce que vous trouvez qu'Harold a raison d'en vouloir à ce point à Jack ?

3. Que vont faire les filles pour rétablir leur amitié ?

Je vous dis à bientôt pour le prochain...

-Juste...

Quoi ?

-HermionePotter va nous tuer pour avoir brisé l'amitié de Jack et Harold...

Je...

-Fuyons !!

Attends-moi !

Se promettre quelque chose à soi-même est le plus dur des défis. Le plus beau est de les relever. Gregory Lemarchal

Shamal

Big Four, Dragons, ''La forêt''

10 | Partager

Commenter

#Posté le mercredi 09 novembre 2016 07:22

Modifié le samedi 12 novembre 2016 09:16

Shamal

Salut à tous !!!

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Chapitre 4

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Chapitre 5

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Chapitre 6

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Je suis taguée ! (5)

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Chapitre 7

Commenter N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (23.20.165.182) si quelqu'un porte plainte.

Skyrock

Infos

Apps

Autres sites

Blogs

Versions